Banque Evolution

Sur cette Terre, prés de la moitié des consommateurs de services bancaires au monde sont se disent prêts à aller voir les institutions non-bancaires, ci ces dernières leur offraient des prix plus avantageux et innovants. C’est en tout cas ce que suggère un sondage international mené par CGI sur http://www.parrain-boursorama.fr/.

 

Cette étude, nommée Today’s Financial Consumer : open for business, a été mené l’an dernier (2017). Elle a été présentée à 2 250 clients, issus de neuf pays différents, qui sont l’Allemagne, le Canada, les Etats-Unis d’Amérique, la Finlande, Singapour, le Royaume-Uni, la France ainsi que la Suède.

Cette enquête, qui est menée pour la quarantième année consécutive, a pour but “d’évaluer et de proposer des perspectives sur la façon dont les consommateurs perçoivent leurs principaux fournisseurs de services bancaires […] (elle doit examiner) ce qu’ils souhaitent et attendent de la part de leurs fournisseurs dans les années à venir”.

 

L’innovation, une obligation ?

 

Ces sondages montrent toute une volonté de plus en plus évolutive chez les consommateurs, d’aller se tourner vers d’autres fournisseurs financiers qui offrent plus de services à valeurs ajoutée. Parmi eux, des conseils, des récompenses, une gestion des finances personnalisée. De ce fait, l’étude menée par CGI démontre que les banques ont toutes intérêt à se mettre a innovée aux plus vite, et à se fondre à ce marché changeant, et proposant, et ce, au minimum, les mêmes services que ces nouveaux concurrents. Le tout, afin de conserver cette clientèle friante d’avantages et de nouveautés.

En douze mois, c’est 8,3% de plus des particuliers qui ont démontré cette préférence de plus en plus insistante, et ceci, en l’espace de seulement douze mois.

Il est important de souligner le fait que ce sont les clients Français (70%) qui se montrent de plus en plus enclins à conserver leurs liens avec les institutions traditionnelles. Ils sont suivis par leurs cousins canadiens (58%).

 

Une disparition des liens entre la banque et son client ?

 

Le sondage démontre aussi le fait, et c’est intéressant de le mettre en exergue, que la question de la sécurité est la première préoccupation des consommateurs. Ce thème reste celui qui représente le service avec le plus de valeur ajoutée demandé, à 77% de tout le panel de sondage.

Plus précisément géographiquement, en Amérique du Nord (E-U et Canada), c’est 81,5% qui demande une meilleure protection des biens. CGI indique que cette zone “constitue un avantage concurrentiel pour les banques qui investissent dans la capacité de protections ainsi qu’un facteur leur permettant de consolider leurs réputations”

Beaucoup sont aussi intéressés à l’idée de recevoir des services numériques novateurs. 33% des sondés mondiaux, reconnaissent la valeur des services et conseils robotisés, alors que 80% se disent être prêt à utiliser un seul compte pour payer tout les achats avec une seul application mobiles. 43% disent aussi vouloir un seul compte bancaire dans une application, qui regrouperait l’ensemble de leurs comptes, à la place d’un seul par compte.

 

Une innovation qui se fait donc de plus en plus insistantes auprès des institutions traditionnelles, tandis que de nouveaux concurrents commencent à s’installer.